Côté Praticien
Avant de vous montrer en vidéo très simplifiée son utilisation, façon « tuto », voici les trois grandes phases de la procédure pour obtenir la signature d’un document par un patient.
- Premièrement, préparer le document à signer par le patient sur le traitement de texte
- Deuxièmement, un seul clique sur le bouton dédié du ruban supérieur du traitement de texte vous lance dans la procédure qui dure moins de une minute.
- Troisièmement, l’application vous invite à indiquer l’emplacement ou le patient doit signer.
- Quatrièmement l’application envoie le document par mail et le stocke dans votre espace personnel dédié.
Côté Patient
Le patient concerné reçoit par mail le devis, accompagné d’un message qu’il nous est proposé de rédiger au moment de l’envoi.
En cliquant sur le bouton, le document à signer apparait, et tel un jeu de piste, le patient est invité à remplir le document et à le signer aux endroits que vous avez indiqué.
Trois possibilités lui sont offertes :
- Taper tout simplement son nom sur le clavier, l’application le transforme en signature certifiée.
- Dessiner sa signature dans l’écran dédié avec la souris de son ordinateur, là… c’est plus artistique !
- Renseigner son numéro de téléphone portable. L’application lui envoie un SMS et le patient utilise son smartphone pour faire sa signature sur l’écran.
En cliquant sur le dernier bouton, le document est signé et est retourné automatiquement par mail à son expéditeur par Pièce jointe.
La cerise sur le gâteau est que l’on peut suivre, sur la plateforme, l’avancement de la signature des documents. Un système de relance, automatique ou manuelle permet de renvoyer les documents aux retardataires.
Je vous propose maintenant de voir, sur des enregistrements d’écrans comment cela se présente, à la fois du côté praticien mais également du côté patient.
Voilà. Alors je n’ai aucun intérêt avec la société Adobe, soyez en assurés.
Il y a probablement d’autres solutions informatiques dédiées et simple d’utilisation.
Celle-ci m’a semblé bien répondre à mon cahier des charges. Et en plus, comme j’avais déjà souscrit l’abonnement pour faire mes revues de littérature, elle ne m’a rien coûté.
Ce n’était pas de l’endo, mais c’était de la gestion de cabinet… à mon niveau. Ce n’est pas grand-chose, mais en cette période de restructuration, toutes les astuces sont bonnes à partager.
A très bientôt pour de nouvelles aventures endodontiques !